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AUTOBIOGRAPHIE.

Connaissez-vous Metalzik et ses productions indépendantes depuis 2006? À 4 ans, envoûté par la musique familiale, il décide qu’il sera guitariste, mais fut-il entendu, l’a-t-il gardé pour lui ? A l'école les cours de musique lui semblaient ennuyeux, préferent la mélancolie de John Cipollina (Quicksilver messenger service) et particulièrement le titre "The fool". Au début de son adolescence, sa tante lui offre une guitare acoustique dont il est ravi, mais préfère le son saturé. En sixième c’est fini, il ne fera plus rien en classe mais garde espoir de devenir guitariste. À seize ans, il trouve un petit travail et parvient à acheter une guitare électrique et à construire un amplificateur à partir d'un magnétophone cassé. Il a commencé à apprendre des chansons de ses groupes préférés, dont entre autres Lynyrd Skynyrd, Johnny Winter et Rory Gallagher. À dix-sept ans, imbu d’un échec scolaire cuisant et incité par ses parents, il est contraint de choisir un apprentissage de cuisinier qui n’aboutira pas pour licenciement économique. À 18 ans il est appelé sous les drapeaux. S’en suit un apprentissage de boucherie qui n’aboutit pas, donc c'est la galère mais c'est pas grave il a le "Blues"... Avec son frère cadet il fait connaissance de musiciens avec qui ils formeront un groupe de rock et se produiront en live et studio. Après deux ans de frustration, il est viré. Il galérera quelques années de petits boulots en petits boulots, et trouvant le temps de jouer de la guitare le plus souvent possible. En 2006, il s’intéresse de plus près au Metal dans sa globalité, grâce à des groupes bien connus et influencé par son frère aîné et un ami. Après avoir économisé un peu d’argent, il s’offre un home studio d’enregistrement, et commence à produire ses compositions dont certaines qu’il se fait pirater (voler les projets dans son ordinateur) et qui ne sont plus en sa possession. En 2012 il ne trouve plus de travail et décide d’être végétalien, pour des raisons éthiques et économiques. S’en vient la maladie psychique. Providence! il entend des voix. Il fait de la musique comme jamais auparavant, une musique pleine de lui-même, mais plus que ça, en fin de compte, et finit par se faire interner à l’hôpital psychiatrique. Il sort et résiste un an pour y retourner de son propre gré. Son médecin lui accorde la jouissance de sa guitare dans sa chambre d’hôpital. Mais il va falloir repartir de zéro. C’est le vide total dans sa tête, et les tréfonds, pas que de sa conscience lui on joué des tours. Il s’accroche à une poignée d’ami(e)s et à sa famille, cherche de nouveaux repères et l’inspiration, c’est très long. En 2019 il décide qu’il doit se sociabiliser de nouveau, mais cette fois de choisir mieux ses ami(e)s s'impose. Et voilà que ça redémarre. Se sentant plein de vie il trouve les nouveaux ami(e)s et l’inspiration. Le voilà reparti, quand on écoute le titre “Forceps”, même “Love Multitude” on comprend qu’il a repris de l'élan. Voilà. Maintenant je vous invite à écouter “Metalzik-Résilience compilation” qui réunit des singles et EP produits entre 2012 à 2022. Un album de Thrash est en cours de préparation (Déjà-vu).

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